"Ils ont concocté à leur manière une combinaison de styles inédite et le résultat est exemplaire. Cela mérite le terme: éblouissant. Dix compositions qui donnent à l'auditeur 48 min d'immersion au pays des merveilles."
Lee Henderson, Big Beautiful Noise, Jan. 2021 "Un premier opus qui démontre que ce combo ne s’est pas encore fixé de limite. Une excellente découverte à tenir à l’œil… et à l’oreille…" Béber, Musiczine, Oct. 2020 "Avec Be not Sad, Benjamin Sauzereau a écrit ce qui semble être la chanson la plus attendrissante de l'album. [...] on éprouve de la délectation à l'écoute de Skeleton Sky, qui est à la fois nerveux, entêtant et atmosphérique, ainsi que dans la surprenante fin ascensionnelle de The Inside. Un album qui grandit." Ulf Kneiding, Westzeit, Nov. 2020 "Les paroles empruntées à James Joyce, et en milieu d'album une piste instrumentale, rendent ce disque de 'rock' unique en son genre. Une agréable traversée des frontières, Limite." Jordi De Beule, Jazz & Mo, Mars 2021 "Nous ne pouvons dire qu’une seule chose : l’empreinte que laisse Limite n’est pas prête de s’effacer tant il se joue des perceptions et des stéréotypes. Encore !" Litzic, Oct. 2020 "Une aventure aux dissonances et libertés stylistiques qui fait penser à une jeune version d'un dEUS nerveux. Limite la ponctue de jazz, d'impros de guitare noise et de mélancolie vocale qui ramène la paix aux gens de bonne volonté." Philippe Cornet, Focus Vif, Oct. 2020 "Cet album est pour nous simplement magique, complètement à la marge de ce qui se fait, brillamment produit, superbement arrangé, exaltant de bout en bout. [...] Mountains Inside est un gros coup de cœur révélant les monts intérieurs, intimes, d'un groupe à l'inventivité débordante. À suivre de très près." Patrick Beguinel, Litzic, Nov. 2020 "Une chanson folk aux touches psychédéliques avec des arrangements franchement inspirés pour la complexité de ses progressions d'accords, tout en conservant une base accrocheuse, empreinte d'une grande douceur. Le chant au ton feutré et les harmonies vocales particulièrement réussies, confèrent à cette pièce une ambiance intimiste, à la fois apaisante et singulière." À propos de Be Not Sad Pascal DesLauriers, Boulimique de Musique, Nov. 2020 "La mélancolie est arrachée aux cordes et pimentée de batterie et d'un chant immersif. La beauté change avec le tempo pour laisser dans nos têtes un silence touchant." Nel Mertens, Luminous Dash, Oct. 2020 "Un projet très intéressant, certainement nourri par les influences de Jordi Cassagne, artiste passionné de musique ancienne et de jazz, qui font de cet album un peu intemporel un mélange de sons et d’harmonies des plus réjouissants." Merseyside, Déc. 2020 |
"They just took another collection of styles and did it in an exemplary way. It actually deserves the word stunning. Ten compositions that give the listener 48 minutes of wonderland mostly.''
Lee Henderson, Big Beautiful Noise, Jan. 2021 "A first opus which shows that this band didn't set yet its limits. An excellent discovery to keep an eye and a ear on..." Béber, Musiczine, Oct. 2020 "With "Be not Sad", Benjamin Sauzereau took a text from James Joyce and created what is almost the loveliest song of the album. There is a delightful feeling in the edgy, riffy and very atmospheric "Skeleton Sky", as well as the surprisingly increasing end of "The Inside". An album that grows. " Ulf Kneiding, Westzeit, Nov. 2020 "Lyrics by James Joyce and half way, a full instrumental track, make this 'rock' record stand out. Pleasantly crossing boundaries, Limite." Jordi De Beule, Jazz & Mo, Mars 2021 "The only thing I can say is that: Limite plays so much with perceptions and stereotypes that its imprint is not about to be erased anytime soon. More! " Litzic, Oct. 2020 "An adventure made of dissonances and stylistic freedoms that brings to mind dEUS, in a young and nervous version. Limit intersperses it with jazz, noisy guitar improvs and vocal melancholy which brings peace to people of goodwill." Philippe Cornet, Focus Vif, Oct. 2020 "This album is for us simply magical, completely on the fringes of what is being done, brilliantly produced, superbly arranged, exhilarating from begining to end. [...] Mountains Inside blew our minds, revealing the intimate, inner mountains, of a band full of overflowing inventiveness. To follow very closely." Patrick Beguinel, Litzic, Nov. 2020 "A folk song with psychedelic touches, with frankly inspired arrangements with their complex chord progressions, while maintaining a catchy base, imbued with great sweetness. The hushed voices and the particularly successful vocal harmonies give this piece an intimate atmosphere, both soothing and unique." À propos de Be Not Sad Pascal DesLauriers, Boulimique de Musique, Nov. 2020 "A track in which melancholy is plucked from the strings and spiced up with drumming and compelling vocals. Beauty is slowly changingwith tempo and what remains is a touching silence in our heads..." Nel Mertens, Luminous Dash, Oct. 2020 "A very interesting project, certainly fed on Jordi Cassagne's influences, an artist passionate about early music and jazz. It gives this album a timeless quality with its delightful mixture of sounds and harmonies." Merseyside, Déc. 2020 |
[ ALBUM ] LIMITE, Mountains inside, premier album bouleversant. // Patrick Beguinel – Litzic – 20/11/2020
Nous avons évoqué Limite dans une de nos récentes sélections, nous nous penchons aujourd’hui sur son premier album, Mountains inside. Celui-ci nous fait une forte impression, pop, rock. Si nous ne pouvons passer outre une certaine influence de Radiohead, nous sommes, avec Limite, dans un univers où l’expérimentation n’est jamais très très loin.
Ces expérimentations prennent principalement corps dans les tessitures sonores et dans les structures en château de cartes qui habitent cet opus surprenant à plus d’un titre. Nous reviendrons sur ce deuxième point très rapidement. Mais pour l’heure, revenons à ces sonorités particulières. Elles concernent principalement les claviers, possédant un aspect parfois granuleux, étrangement étouffés, comme c’est le cas sur Relief Failure par exemple. Ils permettent d’esquisser une atmosphère très particulière, comme « ancienne », digne d’un film d’angoisse. Pour faire une comparaison plus que hasardeuse, nous dirions que ce disque est de l’ordre du noir et blanc en cinéma. L’ambiance dégagée est dès lors une sorte de bulle hors du temps, reposant paradoxalement sur une production très actuelle.
De la douceur.
Un sentiment très doux s’échappe de Mountains inside. Il transpire par une voix au chant romantique, habité par une âme qui nous guide avec une certaine « bienveillance » dans des titres « titubants ». C’est un peu, quand on entend l’album, comme si nous voyions un mec bourré devant nous. Son pas erratique, chaloupé, compensant la chute par des rattrapages in extremis d’un moulinet de bras correspond assez bien à ces mesures chancelantes, ne reposant pas sur le traditionnel 4 temps du rock. Forcément, on adhère à deux mille pour cents même si la première écoute, forcément, ne délivre pas tous ses secrets (et déroute quelque peu).
En effet, il faut dompter l’animal, ces brusques changements d’ambiance, de rythme, passant par des aspects bruitistes après un passage pop limpide. En résulte un sentiment d’être sans cesse pris à contre-pied. Nous ne savons où nous raccrocher, à quel saint se vouer, alors nous n’avons d’autre choix que de faire confiance d’une part à Limite, qui déroule son univers avec brio (et une technique incroyable), d’autre part à nous-même et à nos ressentis premiers. Ce disque pourrait créer le malaise, mais il n’en est rien. En effet, il déclenche plutôt un sentiment magique, celui d’être stimulant de bout en bout.
Rock ou pop ?
Il nous est très difficile de qualifier le disque de pop ou de rock. Nous le rattachons à ces deux dénominations car il est fait avec des instruments inhérents à ces genres. Mais c’est un tel omni (objet musical non identifié) que nous le considérons comme étant totalement à part. Il nous ferait penser, dans l’esprit, à ce genre de déflagrations que furent, par exemple, The velvet underground & Nico ou le Kid A de Radiohead, c’est-à-dire des disques révolutionnant, avec un certain génie, un genre.
Ici, Limite le fait avec une grâce de funambule dont on frémit de voir le corps basculer dans le vide. Les arrangements sont osés, les rythmiques en chewing-gum, le propos pas forcément compréhensible d’emblée. Pourtant, il règne toujours, même s’il nous est invisible à première écoute, un fil que Limite ne cesse de dénouer. Pourtant, le côté parfois abrasif du groupe nous fait tout de même pencher du côté du rock, tendance progressive, mais toujours avec cette folie qui l’en démarque.
Sans balises.
Rien n’est balisé. Une entame de morceau, chaude, rassurante, peut vite laisser place à un bourbier presque glacial dont il nous est impossible de nous extirper. En avons-nous de toute façon réellement envie ? Non, absolument pas. Ces surprises à répétition dégagent une forte cohésion, une identité qui l’est toute autant. Inutile de dire qu’elle force le respect. Car si un tel album se mérite (nous vous en conjurons, ne vous arrêtez pas à la première écoute, ni au premier morceau), il nous rend notre patience, notre attention, notre concentration au centuple. Il est en ce sens à contre-courant de l’idée que la musique est un bien de consommation.
Cet album est, pour nous, simplement magique, complètement à la marge de ce qui se fait, brillamment produit, superbement arrangé, il est exaltant de bout en bout. Chaque écoute renforce notre idée selon laquelle nous sommes en présence d’un disque qui, dans 20 ans, pourraient avoir fait pas mal d’émules (comme le Velvet… et Radiohead on y revient). Enfin si les gens se donnent encore un peu de mal pour découvrir un album dans son intégralité, et de s’y arrêter vraiment plus de 5 minutes. Mountains inside est un gros coup de coeur révélant les monts intérieurs, intime, d’un groupe à l’inventivité débordante. À suivre de très près, c’est un futur grand nom,nous en sommes convaincus.
Le titre de Mountains inside.
Nous aimons beaucoup Skeleton Sky qui nous fait penser, dans un premier temps, à un groupe comme Sonic youth avant de dériver lentement dans un monde fantastique, à mi-chemin du trip sous acide et de la fête foraine (oui, l’écart est grand. Quoi que…). Ce titre, hyper déstabilisant, navigue sur une ligne de champ plutôt limpide, loin du fracas de guitares, de claviers aux notes qui s’entrechoquent, se télescopent, pour nous placer face à ce que nous pourrions nommer un bad trip, de façon plus efficace qu’un millier de mots. Bref, on aime beaucoup beaucoup !
https://litzic.fr/chronique-musique/limite-mountains-inside/
Ces expérimentations prennent principalement corps dans les tessitures sonores et dans les structures en château de cartes qui habitent cet opus surprenant à plus d’un titre. Nous reviendrons sur ce deuxième point très rapidement. Mais pour l’heure, revenons à ces sonorités particulières. Elles concernent principalement les claviers, possédant un aspect parfois granuleux, étrangement étouffés, comme c’est le cas sur Relief Failure par exemple. Ils permettent d’esquisser une atmosphère très particulière, comme « ancienne », digne d’un film d’angoisse. Pour faire une comparaison plus que hasardeuse, nous dirions que ce disque est de l’ordre du noir et blanc en cinéma. L’ambiance dégagée est dès lors une sorte de bulle hors du temps, reposant paradoxalement sur une production très actuelle.
De la douceur.
Un sentiment très doux s’échappe de Mountains inside. Il transpire par une voix au chant romantique, habité par une âme qui nous guide avec une certaine « bienveillance » dans des titres « titubants ». C’est un peu, quand on entend l’album, comme si nous voyions un mec bourré devant nous. Son pas erratique, chaloupé, compensant la chute par des rattrapages in extremis d’un moulinet de bras correspond assez bien à ces mesures chancelantes, ne reposant pas sur le traditionnel 4 temps du rock. Forcément, on adhère à deux mille pour cents même si la première écoute, forcément, ne délivre pas tous ses secrets (et déroute quelque peu).
En effet, il faut dompter l’animal, ces brusques changements d’ambiance, de rythme, passant par des aspects bruitistes après un passage pop limpide. En résulte un sentiment d’être sans cesse pris à contre-pied. Nous ne savons où nous raccrocher, à quel saint se vouer, alors nous n’avons d’autre choix que de faire confiance d’une part à Limite, qui déroule son univers avec brio (et une technique incroyable), d’autre part à nous-même et à nos ressentis premiers. Ce disque pourrait créer le malaise, mais il n’en est rien. En effet, il déclenche plutôt un sentiment magique, celui d’être stimulant de bout en bout.
Rock ou pop ?
Il nous est très difficile de qualifier le disque de pop ou de rock. Nous le rattachons à ces deux dénominations car il est fait avec des instruments inhérents à ces genres. Mais c’est un tel omni (objet musical non identifié) que nous le considérons comme étant totalement à part. Il nous ferait penser, dans l’esprit, à ce genre de déflagrations que furent, par exemple, The velvet underground & Nico ou le Kid A de Radiohead, c’est-à-dire des disques révolutionnant, avec un certain génie, un genre.
Ici, Limite le fait avec une grâce de funambule dont on frémit de voir le corps basculer dans le vide. Les arrangements sont osés, les rythmiques en chewing-gum, le propos pas forcément compréhensible d’emblée. Pourtant, il règne toujours, même s’il nous est invisible à première écoute, un fil que Limite ne cesse de dénouer. Pourtant, le côté parfois abrasif du groupe nous fait tout de même pencher du côté du rock, tendance progressive, mais toujours avec cette folie qui l’en démarque.
Sans balises.
Rien n’est balisé. Une entame de morceau, chaude, rassurante, peut vite laisser place à un bourbier presque glacial dont il nous est impossible de nous extirper. En avons-nous de toute façon réellement envie ? Non, absolument pas. Ces surprises à répétition dégagent une forte cohésion, une identité qui l’est toute autant. Inutile de dire qu’elle force le respect. Car si un tel album se mérite (nous vous en conjurons, ne vous arrêtez pas à la première écoute, ni au premier morceau), il nous rend notre patience, notre attention, notre concentration au centuple. Il est en ce sens à contre-courant de l’idée que la musique est un bien de consommation.
Cet album est, pour nous, simplement magique, complètement à la marge de ce qui se fait, brillamment produit, superbement arrangé, il est exaltant de bout en bout. Chaque écoute renforce notre idée selon laquelle nous sommes en présence d’un disque qui, dans 20 ans, pourraient avoir fait pas mal d’émules (comme le Velvet… et Radiohead on y revient). Enfin si les gens se donnent encore un peu de mal pour découvrir un album dans son intégralité, et de s’y arrêter vraiment plus de 5 minutes. Mountains inside est un gros coup de coeur révélant les monts intérieurs, intime, d’un groupe à l’inventivité débordante. À suivre de très près, c’est un futur grand nom,nous en sommes convaincus.
Le titre de Mountains inside.
Nous aimons beaucoup Skeleton Sky qui nous fait penser, dans un premier temps, à un groupe comme Sonic youth avant de dériver lentement dans un monde fantastique, à mi-chemin du trip sous acide et de la fête foraine (oui, l’écart est grand. Quoi que…). Ce titre, hyper déstabilisant, navigue sur une ligne de champ plutôt limpide, loin du fracas de guitares, de claviers aux notes qui s’entrechoquent, se télescopent, pour nous placer face à ce que nous pourrions nommer un bad trip, de façon plus efficace qu’un millier de mots. Bref, on aime beaucoup beaucoup !
https://litzic.fr/chronique-musique/limite-mountains-inside/
Patrick Beguinel – Litzic – 23/10/2020
Avec Simmering water, Limite nous rapproche de Radiohead, et nous déroute par une augmentation imprévue de son pouls.
Tout en restant dans cette veine pop rock à l’émotion profonde et atmosphérique. Presque arythmique, presque bancale.
Bien trop courte. Mais paradoxalement à la durée parfaite pour nous laisser en fin de compte essoufflés, en demande de plus. Arpège léger, batterie aérienne, basse organique, le titre propose un tableau mouvant, un paysage a explorer, sans début ni fin, qui nous fait aussi penser, par la voix, à un groupe comme I am kloot. Et nous ne pouvons dire qu’une seule chose : l’empreinte que laisse Limite n’est pas prête de s’effacer tant il se joue des perceptions et des stéréotypes. Encore !
https://litzic.fr/playlist/liberte-creative/?fbclid=IwAR1y__qAUz2gbOBjgChPNdMWqqRBIsUlZEizyVWs38r3BPrK3aAY27Jtv0g
Tout en restant dans cette veine pop rock à l’émotion profonde et atmosphérique. Presque arythmique, presque bancale.
Bien trop courte. Mais paradoxalement à la durée parfaite pour nous laisser en fin de compte essoufflés, en demande de plus. Arpège léger, batterie aérienne, basse organique, le titre propose un tableau mouvant, un paysage a explorer, sans début ni fin, qui nous fait aussi penser, par la voix, à un groupe comme I am kloot. Et nous ne pouvons dire qu’une seule chose : l’empreinte que laisse Limite n’est pas prête de s’effacer tant il se joue des perceptions et des stéréotypes. Encore !
https://litzic.fr/playlist/liberte-creative/?fbclid=IwAR1y__qAUz2gbOBjgChPNdMWqqRBIsUlZEizyVWs38r3BPrK3aAY27Jtv0g
Philippe Cornet – Focus Vif – 22/10/2020
Parfois, la pochette traduit à l'os près la texture musicale du disque. C'est le cas dans ce crayonné noir et blanc où un personnage marche seul en montagne. On y voit la métaphore d'une aventure aux dissonances et libertés stylistiques, qui fait penser à une version d'un jeune dEUS nerveux. Limite la ponctue de jazz ( Nerfs Lichen), d'impro de guitares noisy voire free (The Inside, Tram) et de mélancolie vocale qui ramène la paix aux gens de bonne volonté (Our Night Is Landing). L'intérêt majeur de ce groupe bruxellois, où l'on note la présence du chanteur-guitariste Kobe Dupont et du (contre)bassiste Jordi Cassagne, est que chaque titre est un zigzag à surprise. Le plus souvent, pour le meilleur.
https://focus.levif.be/culture/magazine/limite/article-normal-1347741.html
https://focus.levif.be/culture/magazine/limite/article-normal-1347741.html
Nel Mertens – Luminous Dash - 15/10/2020
Limite lijmt. Ze lijmen alternatieve rock met donkere kamermuziek in hun sound. Een tikkeltje psychedelisch, een zweem mystiek en heerlijk introspectieve teksten. Denk in sferen van dEUS en ook Radiohead. (...)
Vrij veel jazzachtergronden samen, maar elk met een eigen insteek die ze kwijt kunnen in het postrockgeluid van Limite.
Dat horen we in hun nummer Simmering Water, dat een eerste luisterproef is voor hun aankomende album.
Een track waarin melancholie met de vingers van de snaren geplukt wordt en pit toegevoegd wordt met drumwerk en meeslepende vocals. Schoonheid wordt in traagheid met tempo gewisseld en wat achterblijft is een rakende stilte in ons hoofd. Het debuutalbum van Limite, Mountains Inside, verschijnt op 20 november 2020 bij het label Off Record.
Live stellen ze hun eerste muzikale reis voor op 22/10 in Volta in Brussel.
https://luminousdash.be/singles/limite-simmering-water-off-record/
Vrij veel jazzachtergronden samen, maar elk met een eigen insteek die ze kwijt kunnen in het postrockgeluid van Limite.
Dat horen we in hun nummer Simmering Water, dat een eerste luisterproef is voor hun aankomende album.
Een track waarin melancholie met de vingers van de snaren geplukt wordt en pit toegevoegd wordt met drumwerk en meeslepende vocals. Schoonheid wordt in traagheid met tempo gewisseld en wat achterblijft is een rakende stilte in ons hoofd. Het debuutalbum van Limite, Mountains Inside, verschijnt op 20 november 2020 bij het label Off Record.
Live stellen ze hun eerste muzikale reis voor op 22/10 in Volta in Brussel.
https://luminousdash.be/singles/limite-simmering-water-off-record/